J’ai décidé d’écrire ce sujet suite à un échange avec Jean-Pierre (phila37).
J’ai reçu son enveloppe hier matin. En la voyant j’ai eu des craintes pour son contenu. Il y avait un pli amorcé de l'enveloppe. Certains facteurs ont la manie de plier en U le courrier surdimensionné (revues, enveloppes contenant des feuilles 21,5 x 28 cm, etc) dans le sens de la longueur et ils y insèrent les enveloppes de format régulier pour ensuite les attacher avec une bande élastique. On n’a pas toujours le même facteur, il y a parfois des remplacements pour toutes sortes de raisons. De plus, la période des vacances est amorcée, ce qui signifie l’utilisation de surnuméraires.
Comme dans toutes les professions et tous les métiers, il y a des gens qui sont méticuleux et d’autres qui le sont moins. Certains jettent un coup d’oeil au courrier AVANT, alors que d’autres le font lorsque çà craque ou qu’ils sentent une résistance.
Voici l’état des 2 cartons de protection de JP.
Le facteur a sans doute voulu plier l’enveloppe et sentant une résistance, il s’est donné la peine de lire sur le recto de l’enveloppe. C’était très bien inscrit en quatre langues de ne pas plier l’enveloppe !! Si seulement, il l’avait lu AVANT plutôt qu’APRÈS. Heureusement que JP avait mis deux cartons ayant une bonne résistance.
Cette étiquette est de 2 x 5 cm. Il serait avantageux de la grossir et d’accentuer les différences de couleurs, afin d'attirer davantage l'attention du facteur. Si vous imprimez votre enveloppe, vous pouvez y imprimer aussi vos étiquettes. Deux exemples d’envois surdimensionnés en Europe. Bien entendu, il faut au départ bien solidifier notre enveloppe.
Essayez de grossir votre avertissement comme celle de l’étiquette PAR AVION.
Pour compléter l’incident; une fois l'enveloppe développée, j'ai constaté que le pli amorcé passait au-dessus des timbres individuels (ouf!). Par contre, les deux blocs-feuillets ont été touchés. Ils avaient un très léger vallon. Je les ai placés dans un volume d'encyclopédie, et je viens de les retirer. Il n'y paraît plus rien (re-ouf!). On a eu une chance de bossu.
Parfois une insouciance d’un facteur peut bousiller un très bel échange.
À chaque conclusion d’un échange, j’expédie à mon correspondant l’image en JPEG de l’enveloppe qu’il recevra. Çà lui donne une preuve d’expédition ainsi que l’état de l’enveloppe au départ. J’espère que les facteurs français n’ont pas la même manie que les nôtres.
Bonne soirée.